Déclaration sur la lutte contre l’esclavage et le trafic des êtres humains
Cette déclaration est faite conformément à l’article 54(1) de la loi de 2015 sur l’esclavage moderne. Langley Holdings PLC est un groupe privé spécialisé dans l’ingénierie et l’industrie basé au Royaume-Uni, dont les principales filiales opérationnelles sont situées en Allemagne, en Italie et en France. Ce groupe compte plus de 80 filiales dans le monde. Les entreprises du groupe produisent des équipements allant des systèmes électriques pour les centres de données aux machines pour les cimenteries et les aciéries, en passant par les lignes d’emballage alimentaire, les équipements de soudage automobile et les presses d’imprimerie.
Notre philosophie de base nous engage à exercer nos activités avec la plus grande intégration et selon les normes éthiques les plus strictes. Il s’ensuit que l’esclavage moderne n’est pas toléré dans nos relations commerciales, que ce soit avec nos fournisseurs ou nos clients. Plus de 90 % de notre production est réalisée en Europe occidentale et en Amérique du Nord, et notre chaîne d’approvisionnement se trouve principalement dans ces mêmes pays. Les produits que nous achetons ou sous-traitons font l’objet d’un contrôle de qualité et d’une traçabilité rigoureuse. Nous fabriquons et vendons des équipements de haute performance à des clients industriels, dont 80 % sont situés en Europe occidentale, en Amérique du Nord et en Australasie. L’esclavage n’est pas présent sur les marchés et dans les secteurs d’activité dans lesquels nous opérons.
Après avoir consulté l’index général de l’esclavage, nous sommes convaincus que le risque global d’exposition à l’esclavage moderne est faible. Nous continuerons à gérer nos activités d’une manière adaptée au risque que nous percevons et dans les pays, où le risque est plus élevé, et où nous avons des clients et/ou des fournisseurs, nous chercherons à obtenir des garanties concrètes quant à leurs propres méthodes de travail. Si nous avons des raisons de nous inquiéter, nous prendrons les mesures qui s’avèrent nécessaires, ce qui peut aboutir à la rupture des relations avec les structures qui ne respectent pas les normes requises par la loi de 2015 sur l’esclavage moderne.